Ce qui était promulgué dans la constitution de Meiji depuis la
période Meiji jusqu'à la guerre mondiale.
Il y avait
le "Kachôseido": le régime du chef de famille;
le beau-père et son mari doivent défendre la famille (la
terre, la fortune, la lignée, la tombe, etc.) La femme doit
obéir et se soumettre au beau-père et à son mari, et elle
doit accoucher du "Chônan" (le premier
garçon): c'était l'idéal. Dans le Ryôsaikenbo, le
ménage, la couture et les manières utiles pour la vie de
famille étaient considérés comme importants pour
l'éducation des filles. Cette idée enracinée
reste encore aujourd'hui, les femmes sont plus heureuses de faire
le ménage et élever les enfants que de travailler quand
elles se marient. Donc les femmes qui travaillent temporairement
pendant une période courte allant de la fin des études
jusqu'au mariage étaient bien vues. Elles étaient
convaincues de la distribution des rôles dans le
mariage. Travailler dehors pour les hommes, faire le ménage et
élever les enfants pour les femmes.
"Gakureki shakai : la société de carriére scolaire", une société où le rang social, le revenu et l'évaluation d'un homme sont jugés par rapport à sa formation scolaire. Au Japon où il y a encore une influence importante du principe de suivre des études supérieures, le nom de l'université est important lors de la recherche d'un emploi. Puis, dans l'entreprise, la "carrière scolaire" influence l'administration du personnel.
Juku et Yobikô ont été crées rapidement partout dans le pays après la guerre comme un soutien aux études scolaires. Elles sont bien ciblées pour réussir "Juken sensô" (la guerre des examens). Pour entrer dans des écoles connues, le travail effectué uniquement à l'école ne suffit pas. Ceux qui ont un retard scolaire, doivent travailler en dehors de l'école. Cela provoque "Juken jigoku (enfer des examens)" et a une énorme influence sur la vie quotidienne de la famille jusqu'au jour de l'examen. Récemment, il est devenu interdit d'occuper le week-end des enfants avec des enseignements, ce qui a provoqué l'ouverture de davantage de cours privés.
Le premier | Le deuxième | |||
Tout le pays | Le kantô (l'est) | Le kansai (l'ouest) | ||
Total | ¥617,000.- | ¥634,000.- | ¥606,000.- | ¥499,000.- |
---|---|---|---|---|
L'examen et l'accouchement | ¥454,000.- | ¥459,000.- | ¥451,000.- | ¥452,000.- |
Training | ¥2,000.- | ¥2,000.- | ¥2,000.- | ¥0.- |
Le cours d'accouchement sans douleurs | ¥4,000.- | ¥7,000.- | ¥2,000.- | ¥1,000.- |
La robe de grossesse | ¥58,000.- | ¥66,000.- | ¥53,000.- | ¥19,000.- |
Les articles pour bébé | ¥99,000.- | ¥100,000.- | ¥98,000.- | ¥27,000.- |
Le système national au Japon. Condition requise pour l'allocation : quelqu'un qui élève un enfant jusqu'au 31 mars de l'année de ses 6 ans reçoit une allocation mensuelle. Le premier enfant ¥5,000.-, le deuxième, ¥5,000.-, après le troisième ¥10,000.- . Il y a aussi l'aide alimentaire pour les enfants : quelqu'un qui élève un enfant jusqu'au 31 mars de l'année de ses 18 ans en l'absence du pére, si handicap, etc. Cela varie de ¥10,000.- à ¥40,000.- par mois selon le salaire de la mère.
L'école maternelle(2 ans) | L'école primaire(6 ans) | Le collège(3 ans) | Le lycée(3 ans) | |
L'école communale | ¥443,730.- | ¥1,664,640.- | ¥1,164,204.- | ¥1,352,880.- |
---|---|---|---|---|
L'école privée | ¥710,904.- | ¥4,730,544.- | ¥2,667,384.- | ¥2,472,588.- |
Externe(4 ans) | La pension(4 ans) |
¥5,500,400.- | ¥9,105,000.- |
L'institut universitaire(2 ans)/externe | En lettres (4 ans)/externe | En scientifique (4 ans)/externe |
---|---|---|
¥4,207,884.- | ¥7,485,096.- | ¥8,490,471.- |
L'institut universitaire(2 ans)/pension | En lettres (4 ans)/pension | En scientifique (4 ans)/pension |
¥5,998,884.- | ¥11,292,696.- | ¥12,298,071.- |
Au Japon il y a les brimades que s'infligent les enfants entre eux. Cela est devenu un problème social grave. En particulier, les parents qui font un mariage international se tourmentent pour l'avenir de leur enfant. Les parents qui font un mariage international mettent leur enfant à l'école primaire japonaise mais il est souvent tourmenté par ses camarades de classe. Il n'est pas rare que faute de mieux, ils doivent mettre leur enfant à l'"international school" au Japon. On sait que cette solution s'est avérée efficace pour beaucoup de familles internationales mais les frais d'études sont trés chers.
Quelques écoles internationales: